451) Bains de lumière
Bains de lumière, exposition à la Galerie Framing |
L'exposition est un succès! Les visiteurs viennent nombreux, il faut dire que cela fait un petit temps que je n'ai plus exposé en solo. Voici un lien pour les informations pratiques concernant l'exposition.
Et il répondit :
Vos vêtements dissimulent une grande part de votre beauté, mais ils ne cachent pas ce qui n’est pas beau,
Et bien que vous cherchiez en vos vêtements l’abri de votre intimité, vous risquez d’en faire un harnais et une chaîne.
Il vaudrait mieux rencontrer le soleil et le vent avec votre peau plutôt qu’avec votre vêture.
Car le souffle de la vie se trouve dans la lumière du soleil et la main de la vie est dans le vent.
Certains d’entre vous disent : « C’est le vent du nord qui a tissé les habits que nous portons ».
Et moi je dis : Oui c’était le vent du nord, mais la honte fut son métier et l’amollissement les nerfs de son fil. Et son travail accompli, il rit dans la forêt.
N’oubliez pas que la pudeur n’est qu’un bouclier contre l’œil de l’impur.
Et quand l’impur disparaît, que devient la pudeur sinon une entrave et une souillure de l’esprit ?
Et n’oubliez pas que la terre s’enchante de sentir vos pieds nus et que les vents joueraient volontiers avec vos cheveux."
« Le prophète » de Khalil Gibran.
Il vaudrait mieux rencontrer le soleil et le vent avec votre peau plutôt qu’avec votre vêture.
Car le souffle de la vie se trouve dans la lumière du soleil et la main de la vie est dans le vent.
Certains d’entre vous disent : « C’est le vent du nord qui a tissé les habits que nous portons ».
Et moi je dis : Oui c’était le vent du nord, mais la honte fut son métier et l’amollissement les nerfs de son fil. Et son travail accompli, il rit dans la forêt.
N’oubliez pas que la pudeur n’est qu’un bouclier contre l’œil de l’impur.
Et quand l’impur disparaît, que devient la pudeur sinon une entrave et une souillure de l’esprit ?
Et n’oubliez pas que la terre s’enchante de sentir vos pieds nus et que les vents joueraient volontiers avec vos cheveux."
« Le prophète » de Khalil Gibran.
Photos de l'exposition:
"Zwin 4", aquarelle sur papier Arches 41 cm X 31 cm, grain fin, 300 g/m2, pur coton, et une sculpture en bronze de Marc Aksakow. |
Les sculptures sont de Marc Aksakow et de Véronique Clamot. |
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